Oeuvres de Stefan Zweig - Le joueur d’échecs Ebook Tooltip Ebooks kunnen worden gelezen op uw computer en op daarvoor geschikte e-readers. ( Edition intégrale )
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- Frans
- E-book
- 1230002817088
- 07 november 2018
- Adobe ePub
Stefan Zweig
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Samenvatting
Cette nouvelle est un récit-cadre écrit selon le principe de la mise en abyme : dans le récit principal viennent s’intercaler deux longs récits, d’une importance essentielle pour la compréhension de l’histoire.....
Sujet...
Sur un paquebot voyageant de New York à Buenos Aires, se rencontrent deux joueurs d’échecs que tout sépare : le champion du monde en titre, d’origine modeste et tacticien redoutable, et un aristocrate autrichien qui n’a pu pratiquer le jeu que mentalement, isolé dans une geôle privée pendant l’occupation de l’Autriche par les nazis.
Le narrateur
Le narrateur, un Autrichien en partance pour l’Argentine, est informé de la présence à bord du champion mondial des échecs, Mirko Czentović. Homme intelligent et passionné par la psychologie, il se met en tête de mieux comprendre ce curieux personnage.
Czentović
L’enfance de Czentović nous est détaillée : orphelin élevé par le curé du village, le jeune garçon est taciturne, apathique et ne parvient pas à apprendre ce qu’on lui enseigne. Certes lent et mou, il exécute cependant les tâches qui lui incombent. Un soir, le curé et un ami, maréchal des logis, disputent une de leurs parties d’échecs quotidiennes lorsque le prêtre est demandé d’urgence pour une mourante. Le maréchal des logis, qui se retrouve sans partenaire de jeu, demande — non sans malice — à Mirko, qui fixe l’échiquier, s’il veut achever la partie. Celui-ci accepte et, surprise, bat son adversaire en quelques coups deux fois de suite. De retour, le curé s’extasie du prodige et constate que ni lui ni son ami ne sont en mesure de battre Mirko. Ils décident alors de le présenter à d’autres joueurs, plus forts. Le prodige finit par battre la plupart d’entre eux hormis deux ou trois adeptes. Ceci conduit les joueurs enthousiasmés et un vieil amateur d’échecs à lui procurer les moyens de continuer son apprentissage à Vienne. À vingt ans, il est champion du monde.
Intrigue
À bord, le narrateur, qui, par curiosité, disputerait bien une partie contre l’illustre maître, attire peu à peu de nombreux amateurs autour d’un échiquier. Ils finissent par attirer quelques secondes l’attention de Czentović qui, jaugeant d’un coup d’œil la qualité de jeu, ne fait que passer, de loin. Mais un des joueurs le prie d’accepter de disputer une partie contre eux. Il accepte, moyennant rétribution, et bat bien sûr ses modestes adversaires. Mais au cours d’une revanche, un mystérieux inconnu se porte au secours de ceux qui aimeraient briser la froide arrogance du champion et, doué de remarquables capacités, il obtient le match nul. Là, maladroit et contrit de s’être immiscé au sein de la partie, il indique aussi qu’il n’a pas touché un échiquier depuis plus de vingt ans puis se retire, laissant un public incrédule mais dont la curiosité est attisée. On découvre qu’il est autrichien, comme le narrateur ; c’est donc ce dernier qui est chargé de le « cuisiner », en jouant auprès de lui le rôle de psychanalyste.
L’inconnu « Monsieur B. »
L’histoire de l’inconnu, « M. B. », s’avère très troublante. Avocat en Autriche, il dissimula longtemps de fortes sommes aux nazis qui, brûlant de se les approprier, faisaient malgré tout long feu. Ils finirent donc par emprisonner le notaire, mais d’une manière particulière : en effet, il est logé dans une chambre d’un hôtel de luxe (l’hôtel Métropole de Vienne) mais il n’a aucun contact avec le monde extérieur (la fenêtre est condamnée, il n’a d’autres compagnons qu’un gardien muet…). Il reste ainsi plusieurs jours, il subit ensuite les premiers interrogatoires de la Gestapo. Au fur et à mesure qu’il passe du temps isolé dans sa chambre, ses réponses se font moins prudentes, il perd le contrôle de lui-même car son esprit « tourne à vide » sans rien de palpable.
Mais un jour, alors qu’il attend son interrogatoire dans une antichambre, il aperçoit, dans une veste pendue à une patère, un livre. Merveille des merveilles à ses yeux, il doit s’en emparer pour vaincre la solitude et la folie qui le guette. « Vole-le ! », s’ordonne-t-il. À l’aide d’un stratagème risqué, il y parvint et, de retour dans sa cellule, il s’aperçoit dépité qu’il s’agit d’un livre d’échecs. Lui qui rêvait de la prose de Goethe ou d’une épopée d’Homère, il enrage devant des formules incompréhensibles, suites de « a1, c4, h2… » dont il ne saisit pas le sens. Mais il finit par comprendre ces codes : ils correspondent à la position des pièces sur un échiquier, et le livre est un recueil des plus grandes parties disputées par des maîtres internationaux. Après avoir essayé de se fabriquer un échiquier physique avec des boulettes de mie de pain comme pièces de jeu et son drap légèrement quadrillé, plié, en guise de plateau, il renonce presque mais s’obstine, apprenant par cœur quelques parties. Il parvient en quelques jours à se priver d’abord des pièces, puis finalement de ce support improvisé, jouant mentalement les parties. Il se familiarise ainsi avec les finesses du jeu, la tactique, etc. Les interrogatoires se passent mieux et il croit étonner ses geôliers dont il devine et pare les pièges.
Cependant, après quelques mois, l’attrait des 150 parties du livre disparaît puisqu’il les connaît toutes et qu’elles deviennent un automatisme sans intérêt quelconque. Il doit donc essayer autre chose : jouer des parties contre lui-même, avec comme principale difficulté de parvenir à faire abstraction des tactiques envisagées de part et d’autre de son échiquier virtuel, et plonger subséquemment dans une sorte de schizophrénie. Il y parvient en effet, mais au bout de peu de temps, son esprit dédoublé « perd pied ». Le gardien, qui l’a entendu crier, accourt, pensant qu’il se querelle avec une autre personne. Mais en fait, c’est contre lui-même que M. B. peste : « Joue ! Mais joue, poltron… Lâche ! … » Les blancs et les noirs s’invectivent en lui et, ayant perdu connaissance, il se réveille dans un hôpital. Le docteur, compatissant, parvient à le faire libérer, le faisant passer pour fou ou irresponsable et donc sans intérêt pour les nazis. Il lui recommande malgré tout de ne plus rejouer aux échecs, sans quoi il pourrait rechuter dans sa schizophrénie.
Productspecificaties
Inhoud
- Taal
- fr
- Bindwijze
- E-book
- Oorspronkelijke releasedatum
- 07 november 2018
- Ebook Formaat
- Adobe ePub
- Illustraties
- Nee
Betrokkenen
- Hoofdauteur
- Stefan Zweig
- Tweede Auteur
- Jacqueline Des Gouttes
- Hoofduitgeverij
- Onbekend
Vertaling
- Eerste Vertaler
- Jean Torrent
Lees mogelijkheden
- Lees dit ebook op
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Overige kenmerken
- Studieboek
- Nee
EAN
- EAN
- 1230002817088
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- Frans
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