Dreamers

Drame intellectuel, sur fond de soulèvement étudiant parisien de mai 1968, réalisé par le cinéaste italien Bernardo Bertolucci. D'après le livre "Les Saints Innocents" de l'auteur Gilbert Adair (1944-2011), qui a également fourni le scénario intéressant, qui soulève néanmoins les questions nécessaires, notamment au regard des motifs étranges des trois personnages principaux. Pourquoi agissent-ils comme ils le font dans l'histoire inhabituelle? Les trois rôles principaux sont joués par Michael Pitt comme Matthew, Eva Green comme Isabelle et Louis Garrell comme Theo. Le casting comprend également Anna Chancellor, Robin Renucci, Florian Cadiou et Ingy Fillion. Faites également attention aux comédiens français Jean-Pierre Kalfon et Jean-Pierre Leaud, qui ont tous vécu les temps turbulents de leur temps, comme eux-mêmes! Cette coproduction anglais / français / italien de Jeremy Thomas contient les scènes de nu nécessaires, ce qui n'est en principe pas une punition, puisque les trois ont des corps qu'il faut voir. Les scènes de sexe / nu sont représentées de manière élégante (photographie de Fabio Cianchetti), le caractère prétendument explicite des images montrées étant grandement exagéré! La scène la plus remarquable est peut-être celle dans laquelle Théo, commandé par sa sœur Isabelle, doit se masturber pour une photo du classique allemand "Der Blaue Engel" et enfin jouir sur Marlene Dietrich! Cette production n'a pas sa propre partition musicale, mais utilise des musiques / chansons existantes telles que "C'est Irreperable" (Nino Ferrer), "Queen Jane Approximately" (Bob Dylan), "Dark Star" (Jeremy Garcia), "El Paso Del Ebro (Rodolfo Halffter), "Troisième pierre du soleil" (Jimi Hendrix), "J'ai besoin d'un homme pour aimer" (Janis Joplin) et "La Mer" (Charles Trenet). L'amour du trio pour le médium "film" se traduit par une série d'extraits de longs métrages célèbres tels que "Shock Corridor", "Queen Christina", "The Cameraman", "City Lights", "Top Hat", "Band, A Partie "," Freaks "," Scarface "et" La fille ne peut pas l'aider ". Les jours de mai 1968 offrent également une image ahurissante et choquante de manifestants principalement (d'extrême) gauche qui ont flirté sans vergogne avec des images et des symboles du meurtrier de masse communiste chinois Mao Zedong (1893-1976), sous le régime duquel environ 40 millions de personnes trouvé mort. Bernardo Bertolucci, marxiste convaincu lui-même, sait à nouveau faire sensation, mais "The Dreamers" est et reste un film pour un petit public et n'est certainement pas du goût de tous.

Vu pour la première fois à la télé, il pensait en fait que c'était une histoire faible, mais s'est amélioré au fur et à mesure que le film avançait, a soudainement pris un virage très étrange Appartient à mon film préféré (toujours Betty Blue 37 ° 2 le Matin sur le numéro un + le la musique céleste de Gabriel hurlé, est fortement recommandée aux fans de ce film de genre), bref, c'est à juste titre un film culte!

Le film parle d'un triangle amoureux entre un frère et une sœur français et un garçon américain. Ils sont tous fascinés par les films. Tout au long du film, ils jouent à une sorte de jeu dans lequel une personne joue soudainement un film et les autres doivent le deviner. Pour ceux qui ne devinent pas, une mission est faite. Ces missions sont souvent sexuelles, ce qui donne à l'ensemble du film un aspect un peu effiloché.
Je pense que les personnages sont bien conçus et que le film n'est pas ennuyeux. Il faut l'aimer et voir le film deux fois pour vraiment le comprendre.

C'est un film très spécial! Je l'ai vu à la télé et je ne savais pas trop quoi en penser. En tout cas, c'est certainement unique et unique en son genre et j'adore ça. Je n'ai pas tout à fait suivi l'histoire et je n'ai pas tout compris, mais c'est pourquoi j'aimerais acheter le DVD une fois de plus pour le revoir, mais beaucoup plus attentivement. Je me souviens qu'il s'agit principalement de jeux, de devoirs, d'imitation et d'intimité, mais cela rend le film intéressant. Bien sûr, ce serait étrange et faux dans la vraie vie, mais pour faire un film (plus) intéressant, il faut laisser de telles choses se produire et puis tout se passe. Après tout, c'est joué. L'image couleur est très belle, mais la particularité est qu'elle utilise également des images en noir et blanc et des (anciennes) scènes de film qui imitent les personnages principaux. Le film a une atmosphère de rêve qui s'intègre très bien, étant donné le monde de rêve des frères et soeurs jumeaux Matthew et Isabelle. Je pense qu'Eva Green est très belle, mais pas du tout un personnage sympa dans ce film. Parfois je la trouve même un peu agaçante, mais je n'ai pas besoin d'aimer un personnage pour aimer un film. De plus, cela fait partie du rôle et elle le dit bien. Cela vaut également pour les autres jeunes et les parents. Ils agissent tous de manière très forte et convaincante. Il est également unique que le film soit italien, français et anglais. Je n'ai pas (encore) vu d'autres films du réalisateur Bernardo Bertolucci, mais je suis assez curieux de ses œuvres. À la suite de The Dreamers, j'attends beaucoup de détails et des histoires assez audacieuses. Ce n'est pas mon genre préféré, mais je pense que ça va.