Oeuvres de James Fenimore Cooper - Eve Effingham Ebook Tooltip ou l’Amérique ( Edition intégrale ) annoté

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  • 25 februari 2020
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James Fenimore Cooper

James Fenimore Cooper (1789-1851) grew up at Otsego Hall, his father’s manorial estate near Lake Otsego in upstate New York. Educated at Yale, he spent five years at sea, as a foremast hand and then as a midshipman in the navy. At thirty he was suddenly plunged into a literary career when his wife challenged his claim that he could write a better book that the English novel he was reading to her. The result was Precaution (1820), a novel of manners. His second book, The Spy (1821), was an immediate success, and with The Pioneers (1823) he began his series of Leatherstocking Tales. By 1826 when The Last of the Mohicans appeared, his standing as a major novelist was clearly established. From 1826 to 1833 Cooper and his family lived and traveled in France, Switzerland, Italy, and Germany. Two of his most successful works, The Prairie and The Red Rover, were published in 1827. He returned to Otsego Hall in 1834, and after a series of relatively unsuccessful books of essays, travel sketches, and history, he returned to fiction – and to Leatherstocking – with The Pathfinder (1840) and The Deerslayer (1841). In his last decade he faced declining popularity brought on in part by his waspish attacks on critics and political opponents. Just before his death in 1851 an edition of his works led to a reappraisal of his fiction and somewhat restored his reputation as the first of American writers.

Samenvatting

Extrait: Quand M. Effingham se fut déterminé à retourner en Amérique, il envoya ordre à son gérant de mettre sa maison de New-York en état de le recevoir. Il avait dessein d’y passer l’hiver, et d’aller à sa maison de campagne quand le printemps ferait sentir sa douce influence. Une heure après avoir quitté le paquebot, Ève se trouva donc à la tête d’un des plus grands établissements de la plus grande ville d’Amérique. Heureusement pour elle, son père avait trop de jugement pour regarder une épouse ou une fille comme n’étant qu’une servante de première classe, et il jugea avec raison qu’il devait employer une partie de son revenu à se procurer les services d’une femme que ses qualités missent en état de soulager une maîtresse de maison d’un fardeau si pesant. Il n’était pas de ces gens qui, pour donner une de ces fêtes à prétention, qui n’amusent personne et dans lesquelles la folie de l’un ne cherche qu’à lutter contre l’ostentation de l’autre, dépensent une somme qui, sagement employée, suffirait pour maintenir un système d’ordre dans une famille pendant tout le cours d’une année ; qui y consacrent volontiers tous leurs moyens, et qui souffrent ensuite que leurs femmes et leurs filles reprennent ces occupations dégradantes auxquelles le beau sexe paraît condamné en Amérique. Il pensait à ce qui fait la base de la vie sociale, au lieu de rechercher ce qui ne sert qu’à l’ostentation. M. Effingham avait assez de bon sens comme homme du monde, et de raison comme homme juste, pour permettre aux êtres dont le bonheur dépendait de lui, de jouir équitablement avec lui des faveurs que la Providence lui avait accordées avec tant de libéralité. En d’autres termes, il rendit deux personnes heureuses en payant généreusement une femme de charge ; d’abord sa fille, en la dispensant de soins qui n’entraient pas plus dans le cercle de ses devoirs, que celui de balayer le devant de la porte de la maison ; et ensuite une femme respectable, qui fut charmée de trouver une si bonne place. Par ce moyen aussi simple que raisonnable, Ève fut à la tête d’une des maisons les plus tranquilles, les plus véritablement élégantes, et les mieux ordonnées de toute l’Amérique, sans être obligée d’y consacrer plus de temps que celui qui était nécessaire pour donner quelques ordres le matin, et pour examiner quelques comptes une fois par semaine.

Une des premières et des plus agréables visites qu’Ève reçut fut celle de sa cousine Grace Van Courtlandt, qui était à la campagne lorsqu’elle arriva, mais qui se hâta d’accourir à New-York, dès qu’elle apprit son retour, pour revoir sa parente et sa compagne de pension. Ève Effingham et Grace Van Courtlandt étaient filles de deux sœurs, et elles étaient nées à un mois l’une de l’autre. Comme la dernière était orpheline, elles avaient passé ensemble une grande partie de leur temps, jusqu’au moment où Ève quitta l’Amérique, ce qui rendit leur séparation inévitable. M. Effingham avait eu dessein d’emmener sa nièce en Europe ; mais l’aïeul paternel de celle-ci vivait encore ; il fit valoir son âge et son affection pour s’opposer à ce projet, et M. Effingham y renonça, quoiqu’à regret. Depuis ce temps l’aïeul de Grace était mort, et elle était restée presque maîtresse de ses volontés, avec une fortune considérable.

Le moment de la réunion de ces deux jeunes personnes, dont le cœur était aimant, et qui étaient sincèrement attachées l’une à l’autre, fut pour toutes deux un moment plein d’intérêt, quoique mêlé de quelque inquiétude. Elles conservaient l’une pour l’autre la plus tendre amitié ; mais le temps qui s’était écoulé depuis leur séparation avait fait naître en elles tant de nouvelles impressions et tant d’habitudes différentes, qu’elles ne se préparèrent pas à se revoir sans quelque appréhension. Cette entrevue eut lieu environ huit jours après qu’Ève fut établie dans State-Street, et de meilleure heure dans la matinée qu’il n’est d’usage de recevoir des visites. Entendant une voiture s’arrêter devant la porte, et le bruit de la sonnette, Ève s’approcha d’une fenêtre, et, cachée par un rideau, reconnut sa cousine qui descendait de sa chaise de poste.

Productspecificaties

Inhoud

Taal
fr
Bindwijze
E-book
Oorspronkelijke releasedatum
25 februari 2020
Ebook Formaat
Adobe ePub
Illustraties
Nee

Betrokkenen

Hoofdauteur
James Fenimore Cooper
Tweede Auteur
James Fenimore Cooper

Vertaling

Eerste Vertaler
Auguste Jean Dufauconpret

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Overige kenmerken

Studieboek
Nee

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1230003728901

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