Cela m'a rendu immensément triste. Ce sont souvent des histoires de femmes qui connaissent plus de misère dans leur vie que d'abandonner un enfant.
D'un autre côté, les mœurs de l'époque étaient que les enfants étaient mieux dans une famille avec un père et une mère. Vous pouvez trouver quelque chose à ce sujet. Mais avec ces pensées, les gens pensaient qu'ils aidaient ces femmes. Mais malgré cela, cela reste triste pour ces femmes et il est important que cette histoire soit racontée et lue.

Je suis née en 1956, mariée en 1977 et j'ai eu plusieurs enfants, "bien mariés" donc je n'ai jamais été dans une situation comme celle des femmes du livre, mais bon sang, comme je pouvais ressentir le désespoir en lisant! Une fois, j'ai proposé d'accueillir le bébé de ma sœur dans notre famille (pour éviter l'adoption par un étranger) parce que, selon nos parents et le pasteur, elle (enceinte du deuxième et non mariée) était incapable de subvenir aux besoins de l'enfant. Ils avaient déjà tout arrangé pour une adoption quand ma sœur a indiqué qu'elle n'abandonnerait son enfant en aucune circonstance. Je ne pouvais pas imaginer alors qu'en tant que parent vous forceriez votre enfant à abandonner son enfant, mais c'est quand même arrivé (1982)! Je n'ai pas pu le lire d'un seul coup, c'était trop intense pour ça et j'ai trop sympathisé avec les mères.

Lis!!!!!

Heel bon de lire ce qui s'est passé ensuite.
Apprenez que cela ne devrait plus jamais se reproduire.
Donnez à chacun son mot à dire!

Le thème est clair. Les filles, les femmes ont été forcées d'abandonner leurs enfants. La honte pour l'environnement en était généralement la raison. Tais-toi, couvre-toi, fuis. Les histoires montrent que les Nederland apparemment ouverts ne l'étaient souvent pas à l'époque. Je suis moi-même né et j'ai grandi à cette époque et j'ai grandi dans un environnement catholique. Je reconnais les histoires sur les religieuses, sur la culture de la culpabilité et de la honte. Ce que vous ne voyez pas n'existe pas. «Je ne pouvais plus fuir la douleur du passé, je me suis retrouvé dans une profonde dépression» (p137) «J'ai eu le sentiment que la mère adoptive de Nienke trouvait difficile que Nienke et moi nous voyions si souvent» (p153) « Je suis devenu la risée "(p87)" Le traumatisme de leur eigen naissance refait surface (p83). Quelques exemples. Le fait que les femmes aient osé et puissent parler si ouvertement de la vie, de leur chagrin, de leur chagrin et des tentatives d'entrer en contact avec leur enfant `` perdu '', je trouve courageuse et puissante et un crédit à l'auteur qui a pu les approcher et est capable d'ouvrir des conversations. Vous l'avez lu dans les histoires. Bien écrit, bien articulé et poignant. Affligeant à ce jour pour la plupart des mères éloignées qui ont maintenant soixante-dix ans.