Oeuvres de Walter Scott - Charles le Téméraire Ebook Tooltip ou Anne de Geierstein, la fille du brouillard ( Edition intégrale ) annoté

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Walter Scott

Sir Walter Scott (1771-1832) was born in Edinburgh. Educated for the law, he obtained the office of sheriff-depute of Selkirkshire in 1799 and in 1806 the office of clerk of session, a post whose duties he fulfilled for some twenty-five years. His lifelong interest in Scottish antiquity and the ballads which recorded Scottish history led him to try his hand at narrative poems of adventure and action. The Lay of the Last Minstrel (1805), Marmion (1808), and The Lady of the Lake (1810) made his reputation as one of the leading poets of his time. A novel, Waverley, which he had begun in 1805, was published anonymously in 1814. Subsequent novels appeared with the note “by the author of Waverley”; hence his novels often are called collectively “the Waverley novels.” Some of the most famous of these are Old Mortality (1816), Rob Roy (1817), Ivanhoe (1819), Kenilworth (1821), and Quentin Durward (1823). In recognition of his literary work Scott was made a baronet in 1819. During his last years he held various official positions and published biographies, editions of Swift and Dryden, tales, lyric poetry, and various studies of history and antiquity.

Samenvatting

Durant l’automne 1474, partis de Venise, deux marchands anglais, John Philipson et son fils Arthur, traversent les « cantons des Forêts ». Ils se trouvent en difficulté dans un passage dangereux. Arthur, pris de vertige, est sauvé par l’intervention d’une jeune fille, Anne de Geierstein. Les voyageurs sont accueillis chez l’oncle d’Anne, Arnold Biederman. Arthur a manifestement la faveur d’Anne. Il suscite la jalousie du cousin de celle-ci, Rodolphe de Donnerhugel, qui le défie. Leur duel est interrompu par Arnold et John. Les deux rivaux se réconcilient en apparence.

L’intention de John est de vendre ses marchandises à la cour de Charles le Téméraire. Arnold se propose de l’escorter, car il doit s’y rendre aussi : il va ramener Anne à son père ; et il fait partie d’une députation de la diète de la Confédération, chargée d’adresser des remontrances au duc de Bourgogne au sujet des exactions commises par Archibald von Hagenbach, gouverneur de La Férette. Arnold tient cependant à maintenir la paix entre Charles et les Confédérés.

Les voyageurs sont contraints de dormir dans un château en ruine, près de Bâle. Au cours d’une ronde, Arthur a la surprise de voir une forme paraissant être Anne parcourir la forêt en pleine nuit. Or, la jeune fille ne peut, croit-il, quitter l’endroit où se trouve sa couche. Rodolphe en profite pour chercher à semer le trouble dans les sentiments de son rival. Il lui donne à penser que la jeune fille, issue d’une famille de sorciers, n’est pas véritablement humaine. Dans un long récit, il évoque la tradition lui attribuant un arrière-grand-père mage persan et une grand-mère ayant pouvoir d’apparaître et de disparaître comme un farfadet.

Au matin, les deux marchands anglais partent seuls, deux heures avant les députés. Arrivant à La Férette, ils sont capturés par les hommes de Hagenbach et jetés dans des cachots en attendant d’être exécutés.

Arthur est tiré de son cachot par un prêtre et par Anne de Geierstein, qui disparaît ensuite.

La délégation suisse arrive à son tour dans la place. Elle y est aussitôt encerclée par une troupe en armes, prête à en découdre. Mais soudain les habitants de La Férette s’insurgent, appuyés de jeunes Bâlois prévenus par Rodolphe. Arthur et Arnold profitent de la confusion pour aller délivrer John. Lorsque tous trois reviennent, ils assistent à l’exécution de Hagenbach, qui vient d’être condamné par la Vehmegericht, tribunal d’une puissante organisation secrète.

La délégation se met en route à pied vers le camp de Charles, tandis que les deux Anglais font un détour à cheval par Strasbourg. En chemin, père et fils décident de se séparer : John continuera par la rive alsacienne du Rhin, tandis qu’Arthur empruntera la rive droite.

Passant la nuit dans une auberge, John est traduit à son tour devant la Vehmegericht. On l’accuse de vouloir nuire à l’organisation secrète. Sur intervention du président, il est finalement libéré.

Cependant, de l’autre côté du Rhin, Arthur arrive au château d’Arnheim, celui du grand-père maternel d’Anne, où il retrouve la jeune fille. Elle lui fournit des explications rationnelles de son comportement mystérieux et des légendes qui entourent sa famille

À Strasbourg, Arthur retrouve son père. Il l’accompagne à un rendez-vous dans la cathédrale avec Marguerite d’Anjou, la veuve du roi d’Angleterre Henri VI, déguisée en mendiante. Car le marchand John Philipson n’est autre que John de Vere, comte d’Oxford, un partisan de la maison de Lancastre. Marguerite et John veulent mettre sur le trône d’Angleterre le jeune Henri Tudor, comte de Richmond, exilé en Bretagne.

Marguerite apprend aux deux Anglais qu’Édouard IV, qui prétend à la couronne de France, vient de traverser la Manche avec son armée ainsi que tous les partisans de la maison d’York. Le moment est donc particulièrement propice à une tentative d’invasion de l’Angleterre, à condition d’obtenir l’aide en troupes de Charles le Téméraire. Mais il faut faire vite. Marguerite s’inquiète en effet de ce que Louis XI a secrètement proposé la paix à Édouard IV. Elle craint que ce dernier ne rembarque bientôt.

Selon Marguerite, Charles ne fera pas alliance avec son beau-frère Édouard. Charles, pour l’heure, menace l’Allemagne. Et ses troupes parcourent la Lorraine, dont elles occupent les principales villes et châteaux. Charles dispute en effet ce duché à René de Vaudemont, neveu de Marguerite.

John et Arthur se rendent au camp de Charles, près de Dijon, afin de solliciter son aide. En contrepartie, John propose au duc la Provence, qui appartient à René d’Anjou, « le Bon Roi René », le père de Marguerite. Charles est tenté. Mais il exige en sus que René désavoue les prétentions sur la Lorraine de René de Vaudemont, son petit-fils.

Quant aux amis de John, les députés suisses, Charles a déjà donné l’ordre de les conduire à la roue et au gibet, à Dijon, sur la place du Morimont. Il les accuse d’avoir pris d’assaut La Férette et d’avoir exécuté Hagenbach. John, qui les sait innocents, obtient un sursis jusqu’au lendemain, pour leur permettre de se justifier. Arthur se rend en Provence pour en ramener l’acte formel de cession des domaines du roi René.

Charles entre à Dijon. Il a suggéré aux états de Bourgogne d’imposer un droit de taille pour financer une guerre aux cantons suisses. Les députés des trois ordres font part d’un refus de cette proposition. Charles ne peut contenir sa fureur. Et c’est le moment qu’il choisit pour demander que l’on fasse comparaître les députés suisses.

Arnold Biederman expose les motifs de plainte des Confédérés envers des officiers de Charles et envers Romont, comte de Savoie, allié et conseiller du duc : pillages, marchands emprisonnés ou mis à mort… Arnold fait valoir qu’en cas de guerre Charles n’a rien à gagner — ni richesses ni gloire — dans une victoire sur des paysans pauvres ; mais qu’en revanche son honneur et sa réputation ont beaucoup à perdre si jamais, comme cela s’est produit par le passé, les Suisses sont vainqueurs. Arnold fait une proposition de paix, que Charles rejette.

Charles et John apprennent qu’Édouard IV et Louis XI se sont rencontrés à Péquigny, et ont déjà conclu un accord. John est effondré. Charles ne lui demande qu’une semaine de délai, le temps de châtier les Suisses. Après quoi, il lui donnera des forces plus considérables encore que celles qu’il a promises. Et il veillera à ce qu’Édouard ne trouve pas un seul navire dans toute la Flandre.

En Provence, au monastère de la montagne Sainte-Victoire, Arthur trouve Marguerite d’Anjou et lui fait part des exigences de Charles. La reine se rend alors à Aix pour obtenir l’abdication de son père. René, qui est criblé de dettes, accepte de signer sans même chercher à savoir à qui il cède ses domaines de Provence. Puis Marguerite lui présente un second document, par lequel il désavouerait les prétentions de son petit-fils sur la Lorraine. Indigné, René refuse de signer.

C’est à ce moment que ce petit-fils, René de Vaudemont, fait irruption tout armé, tout couvert de poussière, arrivant de la bataille de Grandson. Ses alliés, les Suisses, y ont mis en fuite Charles le Téméraire. Voyant s’éteindre « la dernière lueur de ses espérances politiques »,

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Inhoud

Taal
fr
Bindwijze
E-book
Oorspronkelijke releasedatum
01 juli 2019
Ebook Formaat
Adobe ePub

Betrokkenen

Hoofdauteur
Walter Scott
Hoofduitgeverij
Paris : C. Gosselin, 1829

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Studieboek
Nee

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